C’est le début d’une nouvelle vie, d’un choix ou du hasard.

Attendre un enfant est une étape importante de la vie et à chaque fois unique à vivre le plus sereinement possible (en dehors des malaises liés à cet état mais ce n’est pas une maladie, uniquement la transformation d’un corps pour en accueillir un autre !) Le ventre devient tout rond et l’esprit de la future maman va progressivement changer ! Son mode de vie en sera modifié (d’un point de vue physique, alimentaire, …). Il n’y a pas de mode d’emploi précis, chacune doit écouter son corps et ses envies. Le couple va lui aussi évoluer et trouver une harmonie agréable, une nouvelle intimité.
Donner une place, un rôle au futur papa est capital car il sera l’accompagnant tout au long de la grossesse, et peut-être pendant le travail et à l’accouchement. Actuellement, les femmes sont souvent suivies par un(e) gynécologue, une sage-femme et accouchent à l’hôpital avec des professionnels de santé souvent inconnus. Alors en attendant la révolution, un suivi global par une sage-femme : qu’en pensez-vous ? Le bien être rencontré à chaque rendez-vous est primordial. Une auscultation signifie surtout un échange, des réponses à des questions même anodines et non de simples touchers vaginaux et prescriptions pour des analyses sanguines Bien vivre sa grossesse est une des grandes étapes de ce merveilleux voyage ; Peut-être qu’il serait bon d’exprimer vos attentes en matière de naissance : un projet de naissance par exemple en rédigeant une liste de vos envies et non envies ? Vous pouvez peut-être contacter une doula (il peut y en avoir dans votre région) qui pourra vous accompagner (elles sont présentes avant, pendant et après la naissance de votre bébé et seront d’un grand secours émotionnel). Se préparer à l’accouchement : dialoguer avec son enfant tout simplement en lui parlant en chantant, en le touchant…pour déjà lui apporter de l’affection, et le papa y trouve sa place : soit vous passez par des professionnels (chant prénatal, haptonomie…) mais aussi au quotidien chez soi (car nous n’avons pas tous les moyens financiers ou géographiques de pratiquer cela).

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